César Franck à l’honneur le 7 octobre 2022 au Palais de la Musique et des Congrès.

 

Le Chœur Philharmonique de Strasbourg et le Chœur de l’Opéra national du Rhin ont interprété le poème symphonique Psyché de César Franck aux côtés de l’Orchestre philharmonique de Strasbourg, sous la direction de Pierre Bleuse.

 

 

Crédits photo : Nicolas Rosès

On en parle :

 

« On n’est que plus admiratif d’un résultat auxquel les choristes, impeccablement préparés, issus du Chœur de l’Opéra du Rhin (dir. Alessandro Zuppardo) et du Chœur philharmonique de Strasbourg (dir. Catherine Bolzinger) apportent une précieuse contribution. Du Sommeil de Psyché à l’apothéose finale et la montée du couple divin dans la lumière, en passant par les Jardins d’Eros, Pierre Bleuse signe une interprétation intensément vécue et d’une profonde unité, au cours laquelle les épisodes choraux, d’une idéale transparence symboliste, s’intègrent parfaitement. »

Alain Cochard, Concertclassic.com

« Devant l’homogénéité et l’unité de l’orchestre, les chœurs, ici philharmonique et de l’Opéra national du Rhin mêlés, ne rougissent pas ; et dans les trois passages chantés, démontrent un sens de l’articulation, une harmonie et un équilibre grandissants. »

Christian Wolff, DNA

« Le choeur intervient, riche et linéaire, plan, en ponctuation sobre, efficace dans une élocution remarquable, fluide, calme, posée.La dimension mystique du choeur qui borde cette oeuvre en fait un gage solennel, discret de véracité: dimension impalpable de la pièce, vivante musique chorale au souffle prolongé comme des alizées, zéphyrs ou autre vents animés par une interprétation subtile et impressionnante de densité. »

Geneviève Charras

« Après l’entracte, place à un autre anniversaire, celui de César Franck avec un autre poème symphonique, Psyché (1888) pour célébrer le bicentenaire de la naissance de ce musicien virtuose. Ses compositions sont plutôt d’inspiration religieuse mais ce long poème symphonique avec choeur (cinquante minutes), rarement joué avec les choeurs voit dans leurs rangs à la fois les Choeurs de l’Opéra National du Rhin et le Choeur Philharmonique de Strasbourg, choeur amateur animé par Catherine Bolzinger qui n’a pas a rougir de son niveau de qualité. Ils assurent pleinement et avec une belle puissance (soixante-dix chanteuses et chanteurs) les deux parties chantées de Sicard et Louis de Fourcaud…»

La Fleur du Dimanche 

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